Une canicule sans précédent traverse les pays de l’Union Européenne. Chaque été un même constat : les températures ne cessent de grimper et atteignent ou dépassent les 45°c, l’eau devient de plus en plus rare et la pluviométrie annuelle ne cesse de régresser, les incendies ravagent la végétation et menacent les habitations, les agriculteurs peinent à produire comme ils le faisaient auparavant, leur bétail est à court d’eau et de nourriture. Le changement climatique impacte les espèces, les courants marins qui contraignent, par exemple, les tortues caouannes à nidifier sur les plages du Sud de la France. De nombreuses espèces sont menacées.
Loi de la restauration de la nature menacée
La semaine passée a été un combat âpre pour « sauver » la loi de la restauration de la nature face aux dénis et tripatouillages électoraux de la droite avec l’extrême-droite. Le texte sauvé à quelques voix a néanmoins été amputé de plusieurs mesures nécessaires pour faire face à ce bouleversement climatique.
L'urgence d'agir face au bouleversement climatique
Alors que l’ensemble des populations et les secteurs économiques sont désormais impactés, on se demande comment un sursaut n’est pas encore véritablement à l’ordre du jour pour poser de réels actes qui stoppent cette course folle destructrice. Lorsque plus rien ne sera exploitable, il sera trop tard en premier pour les populations les plus fragiles, l’espèce humaine dans son ensemble comprenant les climatosceptiques et ceux qui épuisent les ressources naturelles a des fins financières.
Nouvelles technologies pour un avenir durable
Si nous ne voulons prendre en considération que le côté rentabilité de cette situation en considérant que l’avenir de l’humanité n’est que secondaire, il est évident que le développement de nouvelles technologies, nouveaux modes de fabrication seront des dispositifs incontournables qui auront une forte potentialité de rendements financiers.
Parions sur l'avenir de notre planète
Alors faisons le pari de l’avenir, mettons la recherche, l’économie au service de ce défi et faisons le pari fou que changer notre façon de produire n’est pas une contrainte mais une aventure salutaire pour l’avenir de notre planète et de celles et ceux qui y vivent.